Ahem, tout d'abord, salut à tous! \ô/

Je construis une Galerie. Oui, parce que moi aussi je suis capable de produire des choses!

À vrai dire, j'ai une petite pile de poèmes qui repose dans un coin d'ma maison. Et je ne les ai absolument JAMAIS montrés.
Mais là, je me lance : je vais vous montrer un de mes préférés!
Sur ce, enjoy~



Une vie fraîche est subjuguante beauté!
Elle profite du rèche, mais reste enjouée.
Ce qui l'entoure la fascine! Émerveillée,
Elle se gave des couleurs, fugitive beauté!

Jamais sa gaieté ne s'éteindra, parce que
Elle brillera, scintillante étoile! Elle marque
Au stylo plume nos grands coeurs : OPTIMISME
Et pour toujours, cet espoir, cet altruisme.

Dans nos coeurs si gigantesques, ils se consument!
Créant ce trou béant, oui toi, doute. Donc j'hume
L'allègre parfum de l'amour, si réjouissant.

Adieu, doutes! Adieu, malheurs! Car maintenant, je
Vis à fond chaque instant, je vis! Et plus rien ne
Viendra troubler ce bonheur avec toi, mon coeur. ♥


Voilà, j'espère que ça vous a plu. S'il vous plaît, soyez indulgents, merci. :3

Wahou *_*
J'aime.

Merci beaucoup, tous! :D

Vous savez, vos compliments me touchent beaucoup. Vraiment, ça me rassure que mes poèmes soient pas si nuls ^w^

Pour vous remercier de votre gentillesse, je vous réponds à la gueule par un autre poème de mes archives, beaucoup plus... Bah, vous comprendrez. J'l'ai choisi pour de certaines raisons, que je garderai pour moi. c:
Il est un bien plus long qu'optimisme ^^

Sur ce. Enjoy ( Si on peut dire ça comme ça xD ) !



Dans un vaste champ de blés dorés
Je me suis perdu.
J'ai beau avoir résisté pour me retrouver
L'échec m'a eu.

Tiens donc? L'échec, parlons en.
Sous toutes ses formes dans la vie il apparaît :
En amour, en chance, et même aux jeux. C'est si frustrant!
Me plaindrais-je donc? Moi, roi de moi? Mais...

Je n'ai pas la réponse à cette question.
Personne ne l'a.
Elle fuit, fugue, court, vole. Attention!
Elle vous tuera.

Je m'épuise, m'essoufle, m'exténue, m'use et me crève.
Mais que voulez vous? C'est la vie, qu'ils disent, il y a des hauts et des bas.
Nos amours et questions sur nos vies nous tuent, nous ravissent, engendrant de sublimes rêves,
Aussi bien qu'ils nous trompent, nous ravissent, et finissent par nous relâcher là-bas.

Au loin, perdu jamais dans ce béant néant!
Ô, magistral et impérial noir, toi qui me domine, roi de moi même. Engloutis moi, à présent!
J'y perdrais mes sens, ma volonté, mon corps et mon être, ces géants;
Pour finalement te chérir, t'aimer, me consumer et mourir, fuyant.

Ne laissant derrière moi que cette informe carcasse, toujours aimante
D'un amour si fort, si pur, qu'il n'a pas pu être réciproque.


... Voilà, en fait, il est assez récent celui-là.

Si j'en retrouve d'autres, j'vous en ferait part s'ils me plaisent! ô/
Sur ce, à plus. c: